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Раяль цалуе тонкая рука...У полі мрок...Léo FerréClaude NougaroLéo Ferré« Un véritable, un seul, un éternel amour »« Il était très tard »Lettre publiée dans la Chronique de ParisLettre publiée dans la Chronique de ParisUntitledA munka nagy csupánJ’ai fumé ma pipe en terre« À peine le soleil avait-il séché la rosée matinale »À qui donc sommes-nous ? Qui nous a ? qui nous mène ?« Aimons toujours ! aimons encore »« Assies toy sur le bort d’une ondante riviere »« Au pays de ma reine »« Beauté de qui la grâce étonne la nature »« Comme un fruit au printemps »« Crois, disent-ils »« D’où vient que l’âme humaine »« De leurs cercles bruyants où tout est faux et vide »« Demain, dès l’aube… »« Dût ta voix, comme au temps des Ninives antiques »Écoutez. Je suis Jean…« Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin »Elle écarte en passant« Elle était pâle, et pourtant rose »« Hélas ! tout est sépulcre… »« Heureux l’homme qui voue »« Heureux l’homme, occupé de l’éternel destin »« Ici dorment en Dieu trois enfants, fruits d’amour »« Il lui disait Vois-tu, si tous deux nous pouvions »« J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline »« J’aime dans tout esprit »« J’aime l’araignée et j’aime l’ortie »« J’aurai vingt ans demain »« Je lisais. Que lisais-je ? Oh ! le vieux livre austère »« Je respire où tu palpites »« Je sais bien qu’il est d’usage »